Ne manquez pas la plénière « L’IA, avenir du droit ? » le jeudi 17 octobre de 14h à 16h au Palais du Grand Large à Saint-Malo. Cet événement, organisé par la commission ACE – Jeunes Avocats, sera introduit par son président Ludovic Blanc (Avocat au Barreau de Paris, Président ACE-JA national).

Notre associé Claude-Etienne Armingaud, CIPP/E (Associé, Protection des données & Technologies), François GIRAULT (Avocat au barreau de Montpellier, Président de la commission Prospective et Innovation du CNB, Vice-Président ACE Ouest Méditerranée, Vice-Président Professions Libérales CPME 34), Philippe BARON (Avocat chez 2BMP Avocats, Président de la Commission numérique du CNB) et Christiane Féral-Schuhl (Avocate au Barreau de Paris en droit du numérique, ancienne Présidente du Conseil national des Barreaux, ancienne Bâtonnière de l’Ordre des Avocats de Paris) participeront à cette discussion essentielle sur l’impact de l’IA sur la profession juridique.

Cette rencontre sera animée par Anne-Cécile Sarfati, journaliste et chroniqueuse, avec un Live Show présenté par Tiphaine MARY (Maître et Talons), Avocate au Barreau de Paris.

N’hésitez pas à réserver votre place en vous inscrivant via le lien suivant : https://lnkd.in/gJQ7qqfV.

Participez à notre session le 19 mars 2024 pour explorer les implications de la loi européenne sur l’IA. Dans ce webinaire, nous allons :

  • Décortiquer les quatre niveaux de risque liés à l’IA
  • Discuter des exigences légales pour les déployeurs et les fournisseurs de systèmes d’IA
  • Disposer d’un aperçu de la solution AI governance pour gérer les systèmes d’intelligence artificielle et atténuer les risques 

Inscription ici.

Depuis l’ouverture au grand public de ChatGPT en 2022, l’intelligence artificielle générative (ou « GenAI » pour Generative Artificial Intelligence) ne cesse d’occuper les sommaires des publications, qu’elles soient expertes ou grand public.

Cette technologie émergente qui permet de créer des contenus textuels, audio, visuels ou autres (« Contenus ») de manière autonome, sur la base de Contenus préexistants polarise l’opinion. D’un côté, des technophiles idéalistes qui voient dans ces développements l’avènement d’une productivité décuplée, et de l’autre, des technophobes qui anticipent un futur dystopien et que d’aucuns taxeraient de luddisme.

Au milieu du vacarme médiatique et de l’explosion cambrienne des nouvelles applications dévoilées chaque jour, il est nécessaire de prendre du recul pour appréhender, à tête froide, les opportunités et les risques de ces évolutions technologiques.

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