K&L Gates LLP dispose d’une équipe consacrée au droit des nouvelles technologies, de la propriété intellectuelle et des données personnelles. Le cabinet est également en capacité d’offrir, aux sociétés technologiques, des compétences complémentaires dans le domaine du droit commercial et du droit des sociétés. La pratique est codirigée par Claude-Etienne Armingaud et E. Drouard, dont ‘la parfait maitrise du droit, la remarquable capacité à saisir les problèmes les plus complexes et son courage’ font forte impression. Trois grandes sociétés de transports ont récemment fait appel au cabinet pour les aider dans la négociation de contrats de fourniture de réseaux WiFi installés dans des trains, des gares et des aéroports. Etienne Drouard conseille également BNP Paribas sur les aspects réglementaires et contractuels liés au développement d’une application mobile. Claude-Etienne Armingaud a lui été sollicité par un groupe de BTP pour l’assister dans le cadre du développement d’un projet de smart city. Enfin, l’équipe intervient dans les secteurs de la publicité et du marketing sur internet, et traite des dossiers portant sur des objets connectés et de distribution sur internet.
Classement Legal 500 2019 – Secteurs & Industrie : Technologies de l’Information, Informatique, Internet et Telecoms – France – Band 3
avril 23rd, 2019 | Posted by in Communication | Données Personnelles | France - (0 Comments)K&L Gates a conseillé Ipsos dans le cadre de l’acquisition auprès de GfK de 4 divisions globales de GfK Research.
Ou en est la politique de l’intelligence artificielle sept mois apres le rapport Villani ?
octobre 22nd, 2018 | Posted by in Entretien | Europe | France | Véhicules Connectés - (0 Comments)Voiture autonome : suit sa route
La loi d’orientation des mobilités , dont le site en ligne Contexte a publié l’avant-projet la semaine dernière, permettrait au gouvernement de légiférer, via ordonnance, en ce qui concerne les véhicules autonomes sur des sujets tels que la formation ainsi que la circulation de données entre les voitures, les infrastructures et les autorités. Le gouvernement présente la loi Pacte comme autorisant le test de véhicules autonomes avec un conducteur à l’extérieur de l’habitacle, mais c’est déjà le cas. « [Un] décret de mars 2018 le prévoyait en termes relativement vagues et peu à même de permettre aux acteurs d’anticiper les véritables risques auxquels ils pouvaient s’exposer », analyse l’avocat Claude-Etienne Armingaud.
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Voiture autonome : vers des tests sans chauffeur sur les routes francaises
octobre 11th, 2018 | Posted by in Connected Cars | France | Législation | Presse | Véhicules Connectés - (0 Comments)« Quand verra-t-on des voitures sans chauffeur sur les routes françaises ? Peut-être dès 2019 : comme proposé par le rapport Idrac remis en mai dernier , la loi Pacte devrait faciliter les expérimentations de voitures autonomes dans l’Hexagone. Adopté mardi en première lecture à l’Assemblée Nationale, le projet de loi prévoit à son article 43 d’autoriser les tests sans conducteur à bord. « C’était une disposition réclamée par les acteurs du secteur », rappelle Claude-Etienne Armingaud, avocat associé chez K & L Gates. »
Publication dans Les Échos.
Entretien par Anne Feitz
Voiture autonome : vers des tests sans chauffeur sur les routes francaises
octobre 11th, 2018 | Posted by in Entretien | France | Technologies | Véhicules Connectés - (0 Comments)Quand verra-t-on des voitures sans chauffeur sur les routes françaises ? Peut-être dès 2019 : comme proposé par le rapport Idrac remis en mai dernier, la loi Pacte devrait faciliter les expérimentations de voitures autonomes dans l’Hexagone. Adopté mardi en première lecture à l’Assemblée Nationale, le projet de loi prévoit à son article 43 d’autoriser les tests sans conducteur à bord. « C’était une disposition réclamée par les acteurs du secteur », rappelle Claude-Etienne Armingaud, avocat associé chez K&L Gates.
Il ne s’agira toutefois pas de robot véhicules ne nécessitant aucune intervention humaine. « Il devra y avoir un conducteur capable de reprendre le contrôle de la voiture, mais il pourra se situer à l’extérieur de l’habitacle, avec une télécommande », précise l’expert. Alors que les constructeurs français comme PSA ou Renault, mais aussi des équipementiers comme Valeo, mènent déjà des tests sur route ouverte dans l’Hexagone depuis mi-2015, la législation imposait jusqu’à présent la présence d’un superviseur à bord du véhicule.
Même si le projet de loi Pacte nécessite encore de passer au Sénat avant son adoption, prévue pour la fin de l’année, ces dispositions ne devraient guère évoluer. « Elles semblent faire consensus », note Claude-Etienne Armingaud.
Retrouver l’intégralité de l’article sur le site des Échos
Adequacy Agreements, Legislation and Compliance in a GDPR World
octobre 8th, 2018 | Posted by in Données Personnelles | Entretien | Europe - (0 Comments)While Capitol Hill is inundated with proposed privacy legislations from the Data Breach Prevention and Compensation Act (DBPCA), the CLOUD Act and the ENCRYPT Act, organizations the world over are trying to understand how to get their own regulations deemed adequate enough to ensure the flow of business in the EU, now that GDPR is a reality.
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Cour d’appel de Paris, Pôle 1, Chambre 2, Arrêt du 20 septembre 2018, Répertoire général nº 17/14810
septembre 20th, 2018 | Posted by in France | Jurisprudence | Marques | Propriété Intellectuelle - (0 Comments)COUR D’APPEL DE PARIS ARRET DU 20 septembre 2018 – Pôle 1 – Chambre 2 (n° 413 , 11 pages)
Numéro d’inscription au répertoire général : N° RG 17/14810 Décision déférée à la Cour : Ordonnance du 06 juillet 2017 – Président du TGI de PARIS – RG n° 17/02934
APPELANTES SAS SAINT HERBLAIN AUTOMOBILES agissant poursuites et diligences en la personne de ses représentants légaux domiciliés en cette qualité au siège […] 44800 SAINT HERBLAIN N° SIRET : 303 766 067 SAS RESEAUX IMPULXION agissant poursuites et diligences en la personne de ses représentants légaux domiciliés en cette qualité au siège […] 44800 SAINT HERBLAIN N° SIRET : 448 230 235 Représentées par Me Anne GRAPPOTTE-BENETREAU de la SCP GRAPPOTTE BENETREAU, avocats associés, avocat au barreau de PARIS, toque : K0111 Assistées par Me Renaud B de la SCP BERTIN, avocat au barreau de PARIS, toque : J062 et Me M LE LUHERNE, avocat au barreau de NANTES
INTIMEE Société HYUNDAI MOTOR COMPANY prise en la personne de ses représentants légaux domiciliés en cette qualité au siège 231 Yangjae-Dong Sheocho-Gu – 137-938 SEOUL / REPUBLIQUE DE COREE Représentée par Me Claude-Etienne ARMINGAUD du PARTNERSHIPS K & L GATES L, avocat au barreau de PARIS, toque : G0118 Assistée par Me Claude-Etienne A et Me Olivia R du PARTNERSHIPS K & L GATES L, avocat au barreau de PARIS, toque : G0118
COMPOSITION DE LA COUR : En application des dispositions des articles 786 et 905 du code de procédure civile, l’affaire a été débattue le 28 juin 2018, en audience publique, les avocats ne s’y étant pas opposé, devant M. Bernard CHEVALIER, Président, chargé du rapport, et Mme Véronique DELLELIS, Présidente de chambre.
Ces magistrats ont rendu compte des plaidoiries dans le délibéré de la Cour, composée de : M. Bernard CHEVALIER, Président Mme Agnès BODARD-HERMANT, Conseillère Mme Véronique DELLELIS, Présidente de chambre Qui en ont délibéré Greffier, lors des débats : M. Aymeric P
(suite…)K&L Gates LLP conseille Ipsos dans le cadre de l’acquisition auprès de GfK de 4 divisions globales de GfK Research.
Les avocats du bureau de Paris du cabinet d’avocats K&L Gates sont intervenus en tant que conseil de Ipsos dans le cadre de l’acquisition 100% en cash des 4 divisions globales de GfK Research auprès du groupe GfK.
Relevant d’une importance stratégique pour le groupe Ipsos, cette acquisition lui permet de renforcer le cœur de son expertise et de ses activités tout en offrant des opportunités significatives pour les clients, le management ainsi que les employés de GfK concernés par cette opération.
Ainsi, plus de 1000 experts de Gfk rejoindront Ipsos à la clôture de la transaction dans 25 pays. En 2018, le chiffre d’affaires des 4 divisions globales rachetées a été estimé à plus de 200 millions d’euros, dont une majeure partie est réalisée en Europe (55%).
K&L Gates assistait Ipsos avec une équipe dirigée à Paris par Jean-Patrice Labautière (Associé, Corporate) et à Francfort par Klaus Banke (Associé, Corporate). Ils ont été assistés par Hala Nehmé et Rodolphe Amaudric Du Chaffaut (Collaborateurs, Corporate, Paris), Claude-Etienne Armingaud (Associé, IP/IT, Paris), Patricia Milch, Kerstin Hanke (Collaboratrices, Corporate, Francfort), Nils Neumann, Leonie Meissner (Collaborateurs, Droit social, Berlin), Olaf Fiss (Collaborateur, IP/IT, Berlin). Les questions relatives au contrôle des concentrations sont gérées par les associés Annette Mutschler-Siebert (Concurrence, Berlin) et Francesco Carloni (Concurrence, Bruxelles) avec le support de Marion Baumann (Concurrence, Counsel, Berlin). Les questions fiscales ont été coordonnées par Rainer Schmitt (Associé, Francfort) et Michael Kreft (Counsel, Munich). L’équipe internationale des associés de K&L Gates compte entre autres Kevin Stichter (Corporate, États-Unis), Tom Wallace (Corporate, Londres), Jeroen Smets (Corporate, Bruxelles), Simon Poh (Corporate, Shanghai) et Felipe Creazzo (Corporate, Sao Paolo). Le conseil principal de GfK ainsi que de son actionnaire KKR est Hengeler Mueller.
Source: Le Monde du Droit.
Protection des donnees personnelles : les Etats a la peine face aux GAFAM, inscription à la Constitution ou non
juillet 23rd, 2018 | Posted by in Données Personnelles | Entretien | Presse - (0 Comments)A la suite de l’amende record contre Google, Claude-Etienne Armingaud revient sur la question et les enjeux majeurs de la protection des données personnelles.
Les technologies de l’information dans un contexte de fusion / acquisition : EBITDA ne peut s’écrire sans bits
juillet 22nd, 2018 | Posted by in Données Personnelles | Technologies - (0 Comments)La prégnance croissante des technologies de l’information et de la communication (« TIC ») dans l’activité des entreprises, ainsi que le rôle central de tels systèmes dans la conduite quotidienne de leurs activités, force à considérer les problématiques liées à l’exploitation des TIC de façon éclairée dans le contexte d’opérations de M&A, en particulier au cours des périodes d’audit notamment afin de préserver l’activité de la cible de manière pérenne et continue post-transaction.
En effet, l’exploitation des infrastructures IT (terminaux fixes et mobiles, logiciels & ERP, bases de données, sites Internet et applications, architecture réseau…) repose sur des piliers tant juridiques que techniques, qu’il convient d’abord d’identifier, avant de sécuriser, dans une démarche stratégique.
TIC & propriété intellectuelle
De nombreux droits de propriété intellectuelle peuvent grever tout ou partie d’un système d’information, composé à la fois d’actifs corporels et incorporels. Ainsi, le code d’un logiciel ou système d’exploitation, de même que les contenus issus de salariés ou prestataires, peuvent bénéficier le cas échéant, de protection au titre du droit d’auteur [REF]Article L112-2 du Code de la propriété intellectuelle (« CPI »)[/REF], du droit sui generis de producteur de base de données [REF]Article L112-3 CPI[/REF], ou de certains brevets [REF]Pratique rare en Europe pour le cas des logiciels, mais plus établie aux États-Unis[/REF]. En outre, la porosité entre le droit des marques et le dépôt de noms de domaine est à prendre en considération.
L’exemple du droit d’auteur grevant les créations de salariés ou prestataires est d’autant plus marquant qu’il est souvent rencontré, qu’il s’agisse de contenus visuels ou textuels ou, pour les prestataires, de code logiciels. Si ces droits n’ont pas fait l’objet d’une cession ou licence à son profit, une exploitation par la société utilisatrice de ces composantes de l’infrastructure IT constituerait une contrefaçon de droit d’auteur, générant le risque de blocages ou d’actions judiciaires de la part des titulaires des droits concernés et exposant l’acquéreur à des sanctions civiles voire même pénales.
Le cas échéant, la conclusion, préalablement à l’opération, de contrats, idéalement de cession, ou même a minima de licence, sur ces droits de propriété intellectuelle identifiés au cours de l’audit, permettra de sécuriser la continuité de l’exploitation.
Enfin, la présence en ligne des entreprises est aujourd’hui incontournable –pour l’exploitation effective de leur activité (e-commerce et services en ligne) comme pour leur communication institutionnelle (sites Internet, réseaux sociaux). L’enregistrement ou l’absence d’enregistrement de certains noms de domaine ainsi que les déclinaisons de tels noms sur les diverses extensions mondiales (GTLD) ou a minima celles couvrant les zones d’activité effective (CCTLD) peuvent s’avérer problématiques pour la sécurisation des activités en ligne, voire désastreuses dans certains cas (phishing, defacing…). La titularité effective par la cible de ces noms de domaines, s’ils n’ont pas été acquis pour son compte, par une société de services devra également être sécurisée.
Le cas échéant, il conviendra de procéder à un audit approfondi du portefeuille de noms de domaines et de sites Internet utilisés par la cible afin de confirmer la titularité et sécuriser la continuité de leur utilisation post-transaction, nonobstant les garanties spécifiques qui devront être adoptées au sein du SPA.
TIC & protection des données à caractère personnel
La numérisation des activités économiques, des transports aux services à la personne, en passant par le e-commerce et la publicité personnalisée, l’exploitation des systèmes d’information et des services qui en découlent, repose massivement sur le traitement de données à caractère personnel.
La récente entrée en application du Règlement Général sur la Protection des Données n°2016/679 du 27 avril 2016 (« RGPD ») crée un risque significativement plus élevé en cas de non respect de la règlementation applicable, avec des amendes administratives pouvant s’élever à 20 millions d’euros ou 4% du chiffre d’affaires mondial consolidé de l’organisation à l’origine d’un manquement, ainsi que l’introduction des actions de groupe dans ce domaine (et dont Google, Apple, Facebook, Amazon et LinkedIn font d’ores et déjà les frais en France).
Un audit approfondi des pratiques relatives aux traitements de ces données mis en œuvre par la cible et de sa conformité globale au RGPD (information des personnes concernées, mise en œuvre des droits de ces dernières, obligation de sécurité et de confidentialité des données…) devra être réalisé afin d’éviter tout risque de sanctions de la cible, voire de l’acquéreur. Cet audit passera une étude non solum contractuelle (transferts hors UE/EEE), sed etiam opérationnelle (moyens de collecte et de traitement, mesures de sécurité appliquées aux moyens).
Naturellement, il conviendra d’apporter des réponses rapides et adaptées afin de mettre au plus vite les systèmes d’information au moyen desquels ces données sont traitées en conformité avec le RGPD (ainsi que toute règlementation qui pourrait s’appliquer aux activités de la cible).
Si le calendrier des opérations s’accorde souvent mal avec la complexité d’un tel « audit dans l’audit », il devra en tout état de cause être mené exhaustivement à bref délais afin d’assurer la mise en conformité.
TIC & contrats IT
Les pratiques de plus en plus répandues d’externalisation de fourniture et de maintenance de systèmes d’information –as a service ou on premises– conduisent à devoir considérer avec une attention particulière les éventuelles restrictions liées aux contrats conclus avec les prestataires concernés. Bien que cette problématique ne soit pas nouvelle, le contenu de tels contrats peut s’avérer bloquant pour la continuité de l’utilisation de tout ou partie de systèmes d’information à l’occasion d’opérations et jouera un rôle déterminant dans la structuration de l’opération concernée.
De tels contrats de service peuvent, classiquement, inclure des clauses de changement de contrôle prohibant ou limitation la circulation des obligations ou du contrat lui-même. De telles clauses peuvent donc impacter de façon significative la continuité de l’exploitation de tout ou partie du système d’information considéré, alors même que sa criticité (ERP, système de téléphonie, architecture réseau…) peut nécessiter des niveaux de service impératifs.
En outre, la renégociation de contrats IT qui arriveraient à leur terme au cours ou peu après la fin de la période d’audit, devra être considérée avec attention, au regard des délais de négociation et des montants, souvent conséquents, qui leur sont liés.
Il conviendra de s’assurer, notamment au travers des reps&warranties, de la continuité de ces contrats, voire de l’information/consentement des prestataires concernés.
Valorisation du système d’information
En termes comptables, les systèmes d’information, constitués à la fois d’actifs corporels et incorporels, sont valorisés suivant des normes comptables internationales différentes (US GAAP, IFRS) qui nécessitent une attention particulière.
Tandis que les technologies évoluent rapidement, rendant obsolètes certains éléments-clés, il convient de se pencher sur la juste valorisation de ces actifs, en particulier au regard de leur rôle stratégique (ou non) dans la conduite effective des activités de la cible. Cette approche d’évaluations tant individuelle que globale de l’ensemble des actifs composant le système d’information sera déterminante au regard du principe d’allocation du prix d’acquisition, en particulier pour déterminer la durée de vie résiduelle et l’incidence de tels actifs sur les résultats futurs de la cible, afin de rationaliser autant que possible le prix d’acquisition.
En conclusion, il convient de mener une étude exhaustive des systèmes d’information exploités par une cible, aux fins de valoriser au mieux leur importance et de prévenir tout éventuel blocage dans la continuité de leur exploitation. A cet égard, et au regard tant de la complexité et de l’hétérogénéité des problématiques, que des calendriers de plus en plus contraints pour mener ces opérations, une implication directe et simultanée des équipes corporate et IT (tant juridiques qu’opérationnelles) est aujourd’hui une nécessité.
Première publication: Fusions & Acquisitions Magazine, avec Alexandre Balducci