Le Cabinet K&L Gates est classé avec « Forte Notoriété, Groupe 2/2″ avec Claude-Etienne Armingaud.

SourcesMagazine Décideurs

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Le Cabinet K&L Gates est classé avec « Forte Notoriété – Band 1″ avec Claude-Etienne Armingaud.

SourcesMagazine Décideurs

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Le choix du recours à Kleros résulte d’une volonté explicite des parties de soumettre leurs différends à cette plateforme. Pour autant, le droit, français comme européen, garantit à toute personne, morale ou physique, le droit à un procès équitable.

Dans l’esprit du public, la blockchain est souvent associée aux crypto-actifs, en particulier au Bitcoin (BTC) et à l’Ethereum (ETH). Pourtant, ces pseudo-monnaies virtuelles ne sont qu’un collatéral d’une technologie décentralisée, dont l’objectif est de ne plus avoir affaire à un tiers dit « de confiance », mais à une multitude de validateurs anonymes.

Le protocole ouvre donc des possibilités d’applications infinies, au point d’atteindre aujourd’hui des activités institutionnelles comme le financement, l’assurance et le règlement des conflits.

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Un grand merci à BSMART et Delphine Sabattier de donner de l’écho à la Journée Mondiale de la Protection des Données qui aura lieu ce samedi !

La réglementation (RGPD, Loi Informatique et Libertés) est-elle parfaite ? Non — mais avec ce double anniversaire (45è bougie de la CNIL – Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés et 5è de l’entrée en vigueur du #RGPD), focalisons-nous surtout sur les succès de ces normes — entre prise de conscience des entreprises et prise de pouvoir des personnes concernées.

Pour voir toute l’émission >> https://lnkd.in/eQwC3CkM

Pour fêter avec un peu d’anticipation dès ce soir avec IAPP – International Association of Privacy Professionals >> https://lnkd.in/gUN9ivtJ

(et merci à Jean LARROUMETS et Alain Staron, PhD pour nos échanges hors antenne — à poursuivre!)

#DPD23#DataPrivacyDay#DataProtectionDay#MaTeteDansLePoste

« D’après le règlement européen sur la protection des données (RGPD), les entreprises doivent ne collecter que les données nécessaires », a pointé Claude Étienne-Armingaud. Rappelant la réglementation actuelle, l’avocat associé chez K&L Gates a ensuite présenté différents scénarios possibles de collecte de données.

« Les informations collectées dans la voiture peuvent rester sous la maîtrise unique de l’usager et ne sont pas transmises en dehors du véhicule : c’est le  » in-in « . Ou alors, être transmises au fournisseur de service, tel que Geotab (in-out). Enfin, elles peuvent être transmises au fournisseur de service pour déclencher à distance une action automatique dans le véhicule (in-out-in). Le responsable du traitement des données doit se montrer transparent et documenter la finalité de l’enregistrement de ces données », a argumenté Claude Étienne-Armingaud.

Autre point important rappelé par Claude Étienne-Armingaud, avocat associé chez K&L Gates : « il est indispensable de fixer des durées de conservation des données et de les sécuriser. »

Lire l’intégralité de l’article de Julie Vénier sur le site Flottes Automobiles

« Le pétrole de la nouvelle économie… » C’est souvent par cette expression surannée que sont décrites les données qui résultent de notre utilisation des technologies. Dans le même temps, les géants américains du numérique enchainent les amendes pour non-respect du RGPD[1] (voir notamment la récente amende record prononcée à l’encontre d’Instagram par l’autorité de protection des données irlandaise[2]), et poussent ainsi la Commission européenne à développer de nouveaux outils afin de toujours plus encadrer les utilisations de ces données.

Cette initiative, le « Paquet Numérique », se compose respectivement des DMA[3], DSA[4] et DA[5] et ses objectifs sont clairs – suppléer le RGPD pour les autres données qui seraient issues des utilisateurs, peu important qu’elles fussent personnelles, et instaurer un partage visant une meilleur distribution d’une valeur aujourd’hui accaparée par des acteurs en position quasi-monopolistiques.

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Les équipes d’avocats du cabinet K&L Gates en M&A et Droit social à Paris ont conseillé Securitas AB dans le cadre de son acquisition de Stanley Security en France. Cette opération stratégique positionne Securitas comme un acteur global et incontournable sur le marché des services de sécurité.

Securitas AB annonce l’acquisition de Stanley Security, activité de sécurité électronique de Stanley Black & Decker Inc., et consolide sa position d’acteur international de premier plan pour les prestations de services de sécurité et les équipements de surveillance électronique.

La transaction d’un montant de 3,2 milliards de dollars a été approuvée par la Commission Européenne.

En France, Securitas AB était conseillé par le bureau de K&L Gates à Paris avec Raphaël Bloch, (avocat associé) et Samuel Boccara (collaborateur senior) sur les aspects corporate, et Christine Artus (avocate associée), Sarah Chihi (collaboratrice senior) et Anne Ragu (collaboratrice) sur les aspects liés au droit social. Claude Etienne Armingaud est également intervenu sur cette opération en qualité d’associé sur les aspects data privacy.

Au niveau global, l’équipe de K&L Gates était dirigée par Kevin Stichter, associé à Charlotte qui était accompagné par les associés Brittany Doolittle, (Charlotte), Allen Bachman et Steven Hill (Washington), Francesco Carloni et Philip Torbøl (Bruxelles), Rikki Sapolich-Krol (San Francisco), David Lindsay (Raleigh), Richard Dollimore et Philip Morgan (Londres) et les collaborateurs Ryan Beachum, Hillary Dawe et Avery Miller avec la contribution d’autres avocats de la firme.

Stanley Black & Decker était conseillé par le cabinet Freshfields Bruckhaus Deringer.

Fusions Acquisitions
Trois cabinets sur le rachat de Stanley Security par Securitas AB.
Suite au feu vert de la Commission européenne, le groupe suédois Securitas AB, spécialiste des services de sécurité électronique et solutions de soins de santé de l'Américain Stanley Black & Decker, Stanley Security. L'opération a été réalisée pour un montant de 3,2 milliards de dollars (environs 2,8 milliards d'euros). Au total, 335 employés de Stanley Security vont intégrer la filiale belgo-luxembourgeoise de Securitas, qui consolide ainsi sa position sur le marché des services de sécurité et des équipements de surveillance électronique. Avec environ 8000 employés répartis dans près de 200 bureaux, Stanley Security, dont le siège social se situe à Indianapolis, aux États-Unis, opère depuis trente ans dans le secteur mondial de la sécurité. Securitas AB a été accompagné par K&L Gates avec Raphael Bloch, Associé, Samuel Boccara, en corporate, Christine Artus, associée, Sarah Chihi et Anne Ragu, en droit social, et Claude-Etienne Armingaud, associé en data privacy; ainsi que par PwC Société d'Avocats avec Katia Gruzdova, associée, CLément Jouanolle et Elefterika Balkoska sur la due diligence fiscale. Freshfields Bruckhaus Deringer a conseillé Stanley Black & Decker Inc avec Guillemette Burgala et Sami Jebbour, associés, Fabien Costa, en corporate, Gwen Senlanne, associé, Lucie Plan, en droit du travail, Vincent Daniel-Mayeur associé Benjamin Boisanté en fiscal, Jérôme Philippe associé François Godon et Petya Karsarska counsels Anais Jennepin en concurrence et contrôle des investissements étrangers.

Premières publications: Le Monde du Droit et Option Droit & Affaires

La Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés (CNIL) a clôturé l’année 2020 avec une amende de 20 000 euros à l’encontre la société française NESTOR spécialisée dans la préparation et la livraison de repas sur le lieu de travail (voir la décision complète CNIL, Décision SAN-2020-018, 8 Décembre 2020).

Plusieurs violations du Règlement Général sur la Protection des DonnéesRGPD ») et la Directive Vie privée et Communications électroniques (« Directive ePrivacy ») concernant le traitement des données à caractère personnel des clients et prospects ont été relevés par la CNIL, et notamment :

Si l’amende apparait relativement limitée au regard du montant maximal de 20 millions d’euros ou de 4% du chiffre d’affaires pouvant être prononcé, cette décision reste une opportunité d’examiner de plus près les pratiques de web scraping et de marketing direct qui se développent rapidement.

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La CNIL fixe au 31 mars 2021 la fin du « délai raisonnable » pour mettre en conformité les sites web et applications mobiles.

Suite à l’adoption et la publication de ses lignes directrices modificatives et de la recommandation portant sur l’usage des cookies le 1er octobre 2020 (voir notre alerte sur ce sujet ici), la Commission nationale de l’informatique et des libertés (« CNIL ») a rappelé, le 4 février 2021, la nécessité pour les acteurs privés et publics de s’assurer de leur conformité aux nouvelles obligations en matière de cookies et autres traceurs (« Cookies » – Voir le communiqué de la CNIL du 4 février 2021).

Pour assurer l’effectivité de son plan d’action sur le ciblage publicitaire en ligne et pour lutter contre les lacunes constatées tant dans le secteur public que dans le secteur privé, la CNIL fixe un délai précis : la période d’adaptation accordée à l’ensemble des acteurs afin d’effectuer leur mise en conformité prendra fin le 31 mars 2021.

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Le 1er janvier 2021, la période de transition du Brexit (Période de Transition) est enfin arrivée à terme et le Royaume-Uni a officiellement finalisé sa sortie de l’Union européenne (UE). L’accord commercial post Brexit (Accord) négocié à la dernière minute devrait permettre une transition plus douce sur le plan de la protection des données, dans la mesure où le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) a cessé d’être directement applicable au Royaume-Uni. Il a également été accordé au Royaume-Uni une période de grâce de six mois afin de négocier une décision d’adéquation qui permettrait le libre transfert de données personnelles de l’UE vers le Royaume-Uni.

Si le Comité Européen de la Protection des Données (CEPD) a modifié le 13 janvier 2021 ses Communications sur le Brexit à la suite de l’Accord (Communications), il ne s’est cependant penché que sur:

  • La question des transferts de données de l’UE vers le Royaume-Uni;
  • La fin du mécanisme dit de « guichet unique » pour le Royaume-Uni; et
  • La nécessité pour les entités britanniques qui seraient soumises au RGPD de désigner un représentant conformément à l’article 27 RGPD.
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